Des chercheurs de Thaïlande, du Liban, des Pays-Bas, des ONG impliquées dans la nutrition et la santé ainsi que de nombreux États Membres ont défendu divers arguments, aujourd’hui à la Commission de la population et du développement, pour améliorer l’accès aux aliments sains, dans le cadre de systèmes alimentaires durables.
En cours au Siège de l'ONU
Commission de la population et du développement
Au deuxième jour de ses travaux, la Commission de la population et du développement a organisé une table ronde de haut niveau sur la préparation du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires, qui doit se tenir fin 2021.
C’est dans une ambiance de COVID-19, avec des intervenants en personne et des vidéos préenregistrées, que la Commission de la population et du développement a ouvert sa cinquante-quatrième session qui s’étale sur une semaine et au cours de laquelle sera débattu le thème de cette année: « Population, sécurité alimentaire, nutrition et développement durable ».
Pour la première fois depuis 2016, la Commission de la population et du développement a terminé, ce matin, les travaux de sa cinquante-deuxième session en décidant d’un commun accord que sa cinquante-quatrième session, en 2021, aura pour thème spécial: « Population et développement durable, en particulier croissance économique soutenue et inclusive ». La Commission a également adopté l’ordre du jour provisoire* de sa cinquante-troisième session, en 2020.
Au quatrième jour de son débat général, la Commission de la population et du développement a concentré son attention sur les activités menées en 2018 par la Division de la population du Département des affaires économiques et sociales (DAES) et sur les tendances démographiques qui se dessinent pour les années à venir.
Arrivée à mi-parcours de sa cinquante-deuxième session, la Commission de la population et du développement a souligné aujourd’hui à quel point l’adoption des objectifs de développement durable avait « ravivé » la pertinence du Programme d’action du Caire, en particulier sur les questions liées à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes.
La Commission de la population et du développement a poursuivi aujourd’hui son débat général, entamé hier au niveau ministériel, en insistant sur l’importance de données démographiques ventilées, fiables et actualisées pour combler les lacunes dans la mise en œuvre du Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD).
Au premier jour de sa cinquante-deuxième session, la Commission de la population et du développement a marqué le vingt-cinquième anniversaire de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD) en adoptant, par consensus, une déclaration* politique par laquelle elle salue « les progrès accomplis à ce jour » pour réaliser les buts et objectifs du Programme d’action de la CIPD et les objectifs de développement durable tout en s’engageant à prendre d’autres mesures « pour accélérer sa pleine application ».
La Commission, qui a commencé ses travaux le 9 avril dernier, a fermé ses portes ce soir, en confirmant ce qui est devenu une tradition: depuis 2015, elle ne s’est quittée, qu’une seule fois, en 2016, avec un texte de consensus
Le temps de réaliser avec succès ou pas les 17 objectifs du Programme de développement durable à l’horizon 2030, le monde se sera alourdi d’un milliard de personnes.